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LE RENONCEMENT, MA MEILLEURE ASTUCE POUR APPLIQUER VOS BONNES RESOLUTIONS

On n’en parle pas souvent en tant que tel et on a souvent en tête que le renoncement c’est synonyme d’abandon, d’échec.

Ça serait restreindre son sens et surtout son essence car le renoncement est BIENFAISANT de part ce qu’on veut bien (dé)laisser.

Dans les recherches que j’ai faites pour écrire cet article, la plupart des ressources que j’ai trouvées concernaient un renoncement pour une vie en lien avec la spiritualité. Je ne traiterai pas de ce sujet ici.

Le renoncement s’applique à tous les domaines : du relationnel à son intérieur en passant par son intériorité et des exigences que la personne peut avoir envers elle-même ou des exigences que d’autres peuvent avoir envers elle-même.

Dans cet article, je définis ce qu’est le renoncement puis je partage mon point de vue sur l’intérêt qu’il peut avoir et pour cela, je propose comment faire pour y parvenir.

Si vous préférez la vidéo, alors vous retrouverez le contenu de cet article sur ma chaîne youtube

 

QU’EST-CE QUE C’EST LE RENONCEMENT ?

Se Détacher – Photo de Leigh Patrick sur Pexels

Partons de la définition officielle du Larousse qui donne deux sens au renoncement :

1 – Action de renoncer à quelque chose, de cesser de rechercher ce à quoi on tenait, de s’en détacher

2 – Action de se priver de toute satisfaction personnelle ou égoïste, de s’oublier soi-même : Mener une vie de renoncement.

 

C’est plutôt négatif ce qui se dégage de ces lignes. Néanmoins, il y a beaucoup de positif dans « action de renoncer à quelque chose » et « [action] de s’en détacher ».

C’est, d’ailleurs, de cela dont je vais vous parler maintenant car il faut bien le dire, j’ai décidé de traiter ce sujet à partir du moment où j’ai fait un « trop plein » de mon bazar ambiant.

La seule solution pour moi était donc que je fasse un tri et donc que je renonce à une grande partie des objets que je garde et qui n’ont, a fortiori, pas ou plus une grande utilité pour moi (j’en parlerai sans doute dans un prochain article car concernant ce sujet, le process est en cours 😉 ).

Nous allons voir que non seulement le renoncement ne concerne bien évidemment pas que les biens matériels mais qu’en plus, il apporte de réels bénéfices.

 

LE RENONCEMENT, QUEL INTERET ?

Comme nous l’avons vu dans la définition, le renoncement c’est « se détacher » … A fortiori, de quelque chose ou de quelqu’un.

On peut penser être sur la bonne voie quand on reprend ce qu’Antoine de Saint-Exupéry disait « La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais quand il n’y a plus rien à retirer »

Toute mesure gardée par rapport à la perfection, car je pense qu’il est préférable d’être dans l’amélioration, se délaisser de ce qui est devenu inutile correspondrait davantage à un gain.

Ne pensez-vous pas avoir déjà accumulé trop d’objets, trop de nourriture, trop de ressentiments, trop d’exigences irréalistes, trop de dons de soi non reconnus, trop de relations qui font mal, … ?

Vous l’aurez donc compris, l’idée est de renoncer à ce qui est devenu néfaste pour vous-même.

La première étape est d’en prendre conscience ensuite, soit un réel travail est à entreprendre pour s’en défaire soit on décide de renoncer pour du mieux (forcément).

Un mieux pour lequel une réelle réflexion aura été menée afin de déterminer à quoi il correspond vraiment !

Si ce « mieux » n’est pas assez attrayant alors il faut prendre encore du temps pour y réfléchir sinon, les travers reviendront à la charge.

 

RENONCEMENT CONCERNANT DES BIENS MATERIELS

Photo de Mitchel Durfee sur Pexels

Ce renoncement, c’est pour trois types de personnes, celles qui ont tendance à :

Se doter d’objets de luxe

Accumuler les objets en achetant encore et encore

Ne pas jeter

 

SE DOTER D’OBJETS DE LUXE

Le premier a besoin de se donner une image, le second a besoin de se remplir, de compenser un manque alors que le troisième garde tout.

On peut faire un parallèle avec la gestion des émotions.

Le premier a besoin de se donner de la valeur, d’afficher une réussite sociale (vraie ou fausse !) pour compenser un manque d’estime de soi, de confiance en soi …

Renoncer à afficher une image à mettre un masque, c’est se rapprocher de son authenticité… Être plus vrai avec soi et dans ses rapports avec les autres.

C’est s’entourer de personnes qui correspondent mieux à cette personnalité véritable retrouvée.

C’est retrouver une paix intérieure.

 

ACCUMULER LES OBJETS

Il y a dans les deux derniers cas une accumulation d’objets souvent sans beaucoup de valeur, pas forcément utiles ni utilisés qui prennent, à la longue, de plus en plus de place.

A un moment donné, il n’est pas possible de pousser les murs, il y a un trop plein, un manque d’espace. Ça étouffe.

Pour celui qui a l’habitude de se remplir avec des achats compulsifs, y renoncer c’est s’autoriser à se reconnecter à lui-même pour écouter ce que cette émotion, qui pousse à aller dépenser en vue d’une gratification immédiate, a à dire.

Que ce soit une reconnexion a sa propre puissance ou à sa propre vulnérabilité, l’idée est de donner l’espace à ce message pour qu’il s’exprime pleinement.

 

Quant à celui qui a tendance à ne pas jeter, pour ne pas gâcher, pour ne pas polluer, pour le « au cas où » alors renoncer ça va surtout être l’occasion de faire un tri entre ce qu’il y a à garder, ce qu’il y a à donner, ce qu’il y a à vendre et surtout ce qu’il y a à jeter.

Ce renoncement va permettre de libérer de l’espace physiquement et psychiquement pour créer un réel allègement et il va permettre de se recentrer sur ce qui est vraiment important.

 

RENONCEMENT CONCERNANT DES RELATIONS

Ne vous est-il jamais arrivé d’aider une personne, de donner beaucoup de vous, de faire énormément (voire tout) pour elle mais de ne pas avoir suffisamment de retour ? ce que vous faites est devenu « normal » et vous avez peu de gratification en retour ?

Renoncer à des relations stériles ou énergivores, c’est vous donner plus de temps à vous mais aussi aux relations qui sont plus gratifiantes pour vous.

 

RENONCEMENT CONCERNANT DES EXIGENCES

Il y a différents types d’exigence auxquelles il peut être judicieux de renoncer.

  • Les exigences que vous pouvez avoir envers vous,
  • Les exigences que les autres peuvent avoir envers vous-même
  • Les exigences que vous pouvez avoir envers les autres

A partir du moment où ces exigences sont irréalistes, qu’elles demandent trop d’énergie ou qu’elles rendent une relation conflictuelle voire toxique, il est peut-être temps d’y renoncer ?!

Renoncer à tous ces types d’exigence, c’est vous autoriser à plus de liberté sans diminuer vos possibilités, sans craindre de faire mal

A l’inverse, cela permet d’affirmer votre plein potentiel et votre créativité car dorénavant, aucune contrainte ne l’empêche.

 

RENONCEMENT CONCERNANT DES ATTITUDES / DES COMPORTEMENTS QUE L’ON A

  • ALIMENTATION
  • ADDICTIONS (TABAC, ALCOOL, JEU, …)
  • AUTRES COMPORTEMENTS (SE RONGER LES ONGLES, …)

 

Renoncer à toutes ces attitudes, ces comportements, c’est laisser sa charge mentale, c’est accepter de ne pas être parfait mais de pouvoir continuer à s’améliorer.

 

En plus de celles déjà citées, il existe une multitude de situations qui pourrissent la vie alors on fait avec tant que c’est tolérable mais il arrive un moment où l’oxygène manque, où ça devient trop pesant, trop stressant, TROP d’une manière générale !!!

D’ailleurs, tant que ça ne devient pas insupportable, il n’y aura aucune volonté de changement. Il faut arriver à sa propre extrémité pour (ré)agir. (Hélas !)

C’est dans ces circonstances qu’on entend « lâche prise ».

Ce « lâche prise » qui est devenu un mythe pour bon nombre de personnes car on veut bien lâcher pour que ça cesse mais comment fait-on ?

 

COMMENT PROCEDER ?

Photo d’Olga Dieterle sur Pexels

Quand on arrive face à une problématique devenue douloureuse alors il est temps de :

  • Se poser en prenant 30 minutes, 1h voire plus si besoin sans être dérangé
  • Regarder en face la problématique en l’écrivant. La formuler avec une phrase courte permet d’avoir une première réflexion pour prendre conscience de ce qui ne va pas.
  • Depuis quand cette problématique existe ? Y en a-t-il eu d’autres avant ? Quel est le souvenir le plus ancien ? Ecrivez-les
  • Qu’est-ce qu’elle révèle ? Quel est le besoin derrière ?
  • En quoi le renoncement à cette problématique va te permettre d’accéder ? Quelle réflexion cela apporte ?
  • Résumer le fruit de cette réflexion en une phrase courte qui sera répéter autant que nécessaire pour maintenir la nouvelle attitude créée à partir du renoncement de l’ancienne
  • Quel sentiment ou quelle sensation se dégage de cette phrase ?

 

EXEMPLE

La problématique : je me ronge les ongles et plus je me ronge les ongles plus je me sens anxieuse.

Depuis quand cette problématique existe ? d’au si loin que je me souvienne.

Ici je mentionnerai simplement un souvenir très représentatif de la problématique : je me souviens d’être en voiture avec ma sœur, je suis en vacances, il fait beau, la discussion est agréable et détendue pourtant, je me ronge les ongles.

Qu’est-ce qu’elle révèle ? J’ai une peur inconsciente de ce qui peut arriver dans le futur, une peur de me retrouver sans rien, seule, isolée et sans ressources

Quel est le besoin derrière ? J’ai besoin de me sentir en sécurité, protégée.

En quoi le renoncement à cette problématique va te permettre d’accéder ? Renoncer à me ronger les ongles, c’est renoncer à me projeter dans un futur hypothétique qui n’existe pas. C’est rester dans le présent, attentive à ce que je fais.

Quelle réflexion cela apporte ? Récemment, j’ai lu cette phrase qui me permet d’ancrer cette attitude « Le présent possède une particularité que ne possède ni le passé ni le futur, qui est le temps de l’action créatrice ». Ainsi, en renonçant à me ronger les ongles, consciemment, je me positionne au présent par le fait de me dire que tout ce que je crée et réalise maintenant, c’est ce qui me construit et a fortiori, mon futur.

Résumer le fruit de cette réflexion en une phrase courte : LE PRESENT EST LE TEMPS DE L’ACTION CREATRICE.

Quel sentiment ou quelle sensation se dégage de cette phrase ? Je me sens apaisée et convaincue que ce pouvoir créateur va me permettre de construire une vie plus lumineuse, plus fructueuse. Je m’apporte ainsi la protection et le sentiment de sécurité dont j’avais besoin en reprenant mon pouvoir.

 

POURQUOI EST-CE SI DIFFICILE A METTRE EN ŒUVRE ?

Prendre du recul n’est pas toujours évident et on n’a pas toujours la faculté d’aller chercher à l’intérieur de soi les réponses.

C’est un apprentissage, se laisser le temps d’avancer est indispensable.

Néanmoins, avoir une réflexion sur ses problématiques nombreuses sont les personnes qui ont déjà dû le faire, trouver des « solutions » aussi mais leur mise en application ne dure pas toujours dans le temps.

COMMENT FAIRE POUR QUE CETTE FOIS ÇA PERDURE ?!

Pour moi, une des clés est déjà d’arriver à aller au bon niveau de la problématique.

Ensuite, c’est trouver une solution qui corresponde.

Et enfin, c’est de répéter cette solution consciemment, autant que nécessaire et surtout d’ajuster, voire de trouver des compléments, à cette première solution.

 

Dans l’exemple que je donne ci-dessus, le fait de répéter « LE PRESENT EST LE TEMPS DE L’ACTION CREATRICE » a déjà fait beaucoup car je ne mettais plus les doigts à la bouche.

Néanmoins, avec les ongles qui devenaient plus longs et plus durs, il y avait cette possibilité de « déchirer » quand même certains bouts d’ongles.

J’ai donc rajouté la sensation de douceur au fait de sentir les ongles ce qui a permis de renforcer cette phrase que j’ai même écourtée encore par « LE PRESENT EST CREATEUR ».

Ainsi la douceur (que je me donne pour me permettre d’être bienveillante dans ma progression de laisser mes ongles tranquilles) et l’action créatrice me permettent de maintenir mon ancrage dans le présent.

 

METTRE DE LA CONSCIENCE

Une difficulté qu’on peut rencontrer quand on fait quelque chose tous les jours, c’est que ça ne fait plus forcément autant effet, on ne “voit” plus les choses et on finit par oublier (c’est normal et heureusement… imaginez si on se souvenait de tout ?!!!).

L’idée est donc de mettre en conscience le plus possible le nouveau programme pour qu’il remplace définitivement l’ancien.

C’est un peu le principe de la gravure.

Passer une fois à un endroit pour faire un sillon, il n’y aura qu’une fine trace que l’érosion effacera en peu de temps.

Passer n fois sur le même sillon et il va se graver suffisamment pour que même malgré l’action de l’érosion, il reste bel et bien là.

 

COMPLETER LA METHODE

Méthode à compléter par :

Prendre 5 ou 10 minutes toutes les semaines (même jour, même heure) pour faire un point d’avancement sur là où on en est du renoncement.

S’il s’agit d’un changement physique, prévoir de photographier le changement puis de juxtaposer les photos pour valider l’évolution.

Prévoir une récompense s’il y a une amélioration.

En revanche, faire acte de bienveillance s’il n’y a pas d’amélioration et aussi de fermeté s’il y a plutôt de la régression.

 

CONCLUSION

Je finirai par cette phrase écrite par un théologien « Le renoncement n’entraîne que la perte de l’inutile ».

Tout ce qui pourrit la vie a eu son utilité à un moment donné mais maintenant, j’espère que vous avez décidé que c’était l’heure de s’en séparer.

J’espère aussi que cet article vous aidera à le faire vraiment.

Même si j’avais prévu cet article en dehors du temps des bonnes résolutions, le renoncement est finalement une belle manière de les tenir.

J’en profite ainsi pour participer à l’événement inter-blogueurs du blog « Devenez meilleur » dont j’affectionne particulièrement l’article qui s’intitule «  Comment arrêter d’être déçu ».

Ce blog a pour volonté de vous permettre de vous améliorer, tout comme ce que j’essaie de faire avec le mien.

Et si malgré ces ressources vous sentez qu’une aide ne serait pas du luxe alors vous trouverez mes coordonnées pour me contacter dans le menu.

 

Ne prenez dans cet article que ce qui est bon pour vous.

N’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire, elle pourrait bénéficier à un autre lecteur.

Et si vous pensez que cet article peut être utile à un proche ou une connaissance, transférez-lui, pour l’aider 😊

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20 thoughts on “LE RENONCEMENT, MA MEILLEURE ASTUCE POUR APPLIQUER VOS BONNES RESOLUTIONS”

  1. Merci pour cet article, je n’avais pas encore saisi toutes les subtilité du renoncement. Pour ma part je suis peu attaché au choses matériel donc je peu facilement renoncer mais il m’est plus difficile de lacher prise sur une situation ou un évènement qui m’implique emotionnellement.

  2. Hello, merci pour cet article. Je me reconnais vraiment dans la catégorie de personne qui ont tendance à ne rien jeter… Je vais tenter d’appliquer ta méthode pour commencer à régler ce problème dès à présent =)

    1. Bonjour Sarah,
      Il faut se prendre à 2 mains et sur une petite portion de l’espace pour ne pas se décourager…
      Puis renouveler l’action.
      J’ai déjà fait mais là, en cette période, on va dire qu’il faut remonter d’abord le niveau d’énergie 😉

  3. Merci pour cet article très complet et qui nous pousse à la réflexion sur nous même et notre rapport au matériel. De mon côté j’ai toujours eu du mal à jeter mais en ce moment, j’en ai besoin, besoin de faire de la place chez moi et dans mon esprit!

    1. Bonjour Caroline,
      Même problématique en ce moment… 😉
      Il faut creuser pour savoir ce qui t’empêche de le faire.
      Prend le temps, ça en vaut la peine et ensuite, ACTION 🙂

  4. Alors vais-je renoncer ou pas à laisser un commentaire. Impossible, j’aime beaucoup trop la façon dont tu as abordé le sujet. Cette année, je renonce au relation toxique et inutile.

    1. Bonjour Edouard,
      C’est gentil de ne pas avoir renoncé à laisser un (gentil) commentaire 🙂
      Beau renoncement, tu devrais te sentir beaucoup mieux !!! 🙂

  5. Cet article est très intéressant, et propose une approche unique pour atteindre ses bonnes résolutions. Le concept du renoncement comme stratégie pour se concentrer sur l’essentiel et atteindre ses objectifs est très intéressant. Les exemples et conseils pour mettre en pratique cette stratégie sont super utiles !

  6. Un article super intéressant ! C’est tellement important de parler du droit au renoncement, du droit à dire non qu’on détient tous ! C’est quelque chose que j’aborde souvent dans mes vidéos ou dans mes articles,car c’est aussi quelque chose que trop de gens oublient.

    1. Bonjour Valérie,
      Merci 🙂
      Je différencie le renoncement au fait de dire non à quelque chose (même si ce n’est peut-être qu’une histoire de sémantique?!).
      Je trouve ça plus puissant…
      Peut-être aussi parce que dire non ne me pose pas de problème alors que le renoncement m’apparaît atteindre quelque chose de plus profond.
      C’est juste mon ressenti 😉

  7. J’ai apprécié les instructions claires et pragmatiques sur la façon d’abandonner qui sont contenues dans cet article. On y parle d’une stratégie lorsqu’on arrive face à une problématique devenue douloureuse, mais elle devrait aussi être valable lorsqu’on veut renoncer à quelque chose.
    Pour ma part, j’aurais probablement ajouté une étape pour ce dernier cas, quand on décide de renoncer à quelque chose, c’est-à-dire de s’en séparer.
    C’est une astuce que j’ai découverte en lisant les livres de Marie Kondo sur le rangement. Elle nous conseille de remercier les objets en question pour les services qu’ils nous ont rendus avant de s’en débarrasser. C’est un peu comme enterrer un être cher qui quitte cette vie et qui nous permet de nous en séparer émotionnellement afin de continuer à vivre ou à survivre.

    1. Bonjour Dieter,
      Merci pour ce partage et cette astuce.
      Je pense qu’il peut se rajouter aisément à n’importe quel type de renoncement.
      Je l’utilise aussi en séance parfois car c’est toujours bénéfique de prendre conscience que nos comportements nous servent avant de nous desservir 🙂

  8. J’aime beaucoup cet approche du renoncement … particulièrement la citation de St Exupéry … J’aime regarder cette approche du renoncement comme la métaphore de peler un oignon afin d’arriver à son essence primordiale.

    1. Bonjour Eric,
      Merci 🙂
      La métaphore de l’oignon, c’est exactement ça 🙂
      Et c’est joliment dit “afin d’arriver à son essence primordiale”

    1. Bonjour Aurélie,
      L’idée y est mais il n’y a pas assez d’informations pour en dire plus par rapport au renoncement.
      L’important est qu’il y ait eu un lâcher prise et que le problème n’en soit plus un 🙂

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